Lot n° : 927 | Estimation : 600 - 700€
Grèce - LUYNES (Honoré-Théodoric d'Albert de). Métaponte. Paris, Paul Renouard, 1833.
Grand in-folio, [4]-II-49 pp., avec 10 planches lithographiées ou gravées au trait (dont deux en couleurs), cartonnage bradel, dos muet, premier plat imprimé (reliure de l'éditeur). Coins abîmés, rousseurs.
Unique édition de cet important compte-rendu d'exploration, qui fut salué pour sa méthode et la qualité de son iconographie.
C'est en 1825, puis surtout en 1828 que le futur huitième duc de Luynes effectua deux voyages archéologiques à Métaponte, le second accompagné de l'architecte Joseph-Frédéric Debacq (1800-1892). On connaît surtout les fragments architecturaux portant encore des traces de couleurs vives qu’ils y découvrirent et qui devinrent des pièces maîtresses pour les défenseurs de la polychromie antique, comme l’architecte Jacob Ignace Hittorf. Ce fut aussi lors de ce séjour que le duc s’impliqua aux côtés d’archéologues et philologues célèbres, tels Eduard Gerhard, Christian Karl Bunsen et Theodor Panofka, dans la création de l’Institut de correspondance archéologique de Rome dont il devint le principal mécène.
Lot n° : 927
Adjuge : 600 €
Grèce - LUYNES (Honoré-Théodoric d'Albert de). Métaponte. Paris, Paul Renouard, 1833.
Grand in-folio, [4]-II-49 pp., avec 10 planches lithographiées ou gravées au trait (dont deux en couleurs), cartonnage bradel, dos muet, premier plat imprimé (reliure de l'éditeur). Coins abîmés, rousseurs.
Unique édition de cet important compte-rendu d'exploration, qui fut salué pour sa méthode et la qualité de son iconographie.
C'est en 1825, puis surtout en 1828 que le futur huitième duc de Luynes effectua deux voyages archéologiques à Métaponte, le second accompagné de l'architecte Joseph-Frédéric Debacq (1800-1892). On connaît surtout les fragments architecturaux portant encore des traces de couleurs vives qu’ils y découvrirent et qui devinrent des pièces maîtresses pour les défenseurs de la polychromie antique, comme l’architecte Jacob Ignace Hittorf. Ce fut aussi lors de ce séjour que le duc s’impliqua aux côtés d’archéologues et philologues célèbres, tels Eduard Gerhard, Christian Karl Bunsen et Theodor Panofka, dans la création de l’Institut de correspondance archéologique de Rome dont il devint le principal mécène.