Lot n° : 654 | Estimation : 350 - 400€
[CHARRIERE (Isabelle-Agnès-Elisabeth van Zuylen, Madame de)]. Lettres écrites de Lausanne. Première partie. - Calliste ou Suite des Lettres écrites de Lausanne. Seconde partie. Genève-Paris, Prault, 1788.
2 parties en un vol. in-8, demi-chagrin bleu nuit à coins, dos à nerfs orné (reliure du XXe siècle). Bon exemplaire.
Édition très rare qui fait suite à la parution séparée et successive des deux parties : la première était sortie en 1785 à la fausse adresse de Toulouse (en fait Genève), puis avait été réimprimée en 1786 ; la seconde en 1787 par le même Prault.
L'importance littéraire de Belle Van Zuylen (1740-1805) qui épousa Charles-Emmanuel de Charrière de Penthaz, ne cessa de croître depuis le XIXe siècle qui l'a relativement méconnue. En correspondance avec tout ce que le siècle comptait de beaux ou grands esprits, elle a surtout laissé une œuvre au style lumineux et pur, qui, pour les époques postérieures, peut donner au mieux l'impression de ce qu'était cette période de la "douceur de vivre". (Cioranescu, XVIII, 16920 et 16922 (pour les originales de chacune des parties).)
Lot n° : 654
Retiré
[CHARRIERE (Isabelle-Agnès-Elisabeth van Zuylen, Madame de)]. Lettres écrites de Lausanne. Première partie. - Calliste ou Suite des Lettres écrites de Lausanne. Seconde partie. Genève-Paris, Prault, 1788.
2 parties en un vol. in-8, demi-chagrin bleu nuit à coins, dos à nerfs orné (reliure du XXe siècle). Bon exemplaire.
Édition très rare qui fait suite à la parution séparée et successive des deux parties : la première était sortie en 1785 à la fausse adresse de Toulouse (en fait Genève), puis avait été réimprimée en 1786 ; la seconde en 1787 par le même Prault.
L'importance littéraire de Belle Van Zuylen (1740-1805) qui épousa Charles-Emmanuel de Charrière de Penthaz, ne cessa de croître depuis le XIXe siècle qui l'a relativement méconnue. En correspondance avec tout ce que le siècle comptait de beaux ou grands esprits, elle a surtout laissé une œuvre au style lumineux et pur, qui, pour les époques postérieures, peut donner au mieux l'impression de ce qu'était cette période de la "douceur de vivre". (Cioranescu, XVIII, 16920 et 16922 (pour les originales de chacune des parties).)