Lot n° : 61 | Estimation : 250 - 300€
Atelier des derniers Nouailher Plaque d'aumônière en cuivre émaillé en polychromie à léger relief de feuillage. Elément d'une bourse de mariage. Plaque de bourse, de forme ovoïde, en émail peint polychrome, représentant sur homme de qualité en buste, bordé d'un contre émail noir surmonté d'un rinceau. Chocs, accidents. Travail français du début du XVIIIe, Oeuvre de Limoges. Contre-émail bleu foncé. H.: 7,5 cm - L.: 5,5 cm. Historique: ces bourses dites de mariage, servaient pour renfermer les pièces d'or que tout époux devait offrir, au moment solennel, à celle qui allait porter son nom. Le plus souvent, elles étaient enrichies de broderies ou d'émaux et généralement ces broderies et ces émaux représentaient le portrait des deux fiancés. Lors des mariages royaux, d'alliances historiques ou d'union de nobles familles, il arrivait parfois que ces bourses de mariage n'étaient pas destinées à être des cadeaux faits par le marié à sa future épouse, mais destinées à être offertes, garnies de jetons de mariages, aux invités d'honneur ou de haut rangs. Plusieurs exemples de ce type de bourses se trouvent au Musée du Louvres et au Musée de Sens. Le sujet est a rapproché d'une plaque de Jean-Baptiste NOUAILHER au numéro d'inventaire 422.a du Musée des Beaux-Arts de LIMOGES. On trouve également ce type d'objet au musée Paul Dupuy à Toulouse.
Lot n° : 61
Adjuge : 300 €
Atelier des derniers Nouailher Plaque d'aumônière en cuivre émaillé en polychromie à léger relief de feuillage. Elément d'une bourse de mariage. Plaque de bourse, de forme ovoïde, en émail peint polychrome, représentant sur homme de qualité en buste, bordé d'un contre émail noir surmonté d'un rinceau. Chocs, accidents. Travail français du début du XVIIIe, Oeuvre de Limoges. Contre-émail bleu foncé. H.: 7,5 cm - L.: 5,5 cm. Historique: ces bourses dites de mariage, servaient pour renfermer les pièces d'or que tout époux devait offrir, au moment solennel, à celle qui allait porter son nom. Le plus souvent, elles étaient enrichies de broderies ou d'émaux et généralement ces broderies et ces émaux représentaient le portrait des deux fiancés. Lors des mariages royaux, d'alliances historiques ou d'union de nobles familles, il arrivait parfois que ces bourses de mariage n'étaient pas destinées à être des cadeaux faits par le marié à sa future épouse, mais destinées à être offertes, garnies de jetons de mariages, aux invités d'honneur ou de haut rangs. Plusieurs exemples de ce type de bourses se trouvent au Musée du Louvres et au Musée de Sens. Le sujet est a rapproché d'une plaque de Jean-Baptiste NOUAILHER au numéro d'inventaire 422.a du Musée des Beaux-Arts de LIMOGES. On trouve également ce type d'objet au musée Paul Dupuy à Toulouse.