Lot n° : 256 | Estimation : 300 - 400€
Grèce - CHRESTIEN (André-Thérèse). Lettre au roi Othon, sur le caractère de la nouvelle génération grecque ; par A.-T. Chrestien. Paris, Arthus Bertrand, 1834. In-8 de 39-(1)-8 pp., cartonnage moderne, couverture imprimée conservée. Édition originale. E.A.S. à Alfred Moquin-Tandon. Lettre au jeune roi de Grèce, marquée par un esprit démocratique, à contre-courant de nombreux autres ouvrages de soutien de la cause grecque, se montrant plus objective dans l'évaluation des forces en présence dans les Balkans. Avec une longue lettre autographe signée (4 pp. in-8), datée du 1er août 1829, adressée à Moquin-Tandon : « Trois jours après mon arrivée à Toulon, c.à.d. le 26 juin j'ai été embarqué en qualité de chirurgien auxiliaire de 3e classe sur la Didon frégate de 60 canons, qui ramenait le maréchal Maison de la Morée, ainsi que les soldats du Génie que l'on y avait envoyés. La destination de cette frégate a suivi les incertitudes du ministère et de non négociation ; pendant ce temps, pour exercer les apprentis marins, notre Commandant, Mr de Villeneuve-Bargemont a conduit sa frégate (et sa femme) à Marseille. J'ai passé quelques jours à Marseille qui m'a appris le projet que tu as d'y aller faire un cours d'histoire naturelle. »
Lot n° : 256
Adjuge : 400 €
Grèce - CHRESTIEN (André-Thérèse). Lettre au roi Othon, sur le caractère de la nouvelle génération grecque ; par A.-T. Chrestien. Paris, Arthus Bertrand, 1834. In-8 de 39-(1)-8 pp., cartonnage moderne, couverture imprimée conservée. Édition originale. E.A.S. à Alfred Moquin-Tandon. Lettre au jeune roi de Grèce, marquée par un esprit démocratique, à contre-courant de nombreux autres ouvrages de soutien de la cause grecque, se montrant plus objective dans l'évaluation des forces en présence dans les Balkans. Avec une longue lettre autographe signée (4 pp. in-8), datée du 1er août 1829, adressée à Moquin-Tandon : « Trois jours après mon arrivée à Toulon, c.à.d. le 26 juin j'ai été embarqué en qualité de chirurgien auxiliaire de 3e classe sur la Didon frégate de 60 canons, qui ramenait le maréchal Maison de la Morée, ainsi que les soldats du Génie que l'on y avait envoyés. La destination de cette frégate a suivi les incertitudes du ministère et de non négociation ; pendant ce temps, pour exercer les apprentis marins, notre Commandant, Mr de Villeneuve-Bargemont a conduit sa frégate (et sa femme) à Marseille. J'ai passé quelques jours à Marseille qui m'a appris le projet que tu as d'y aller faire un cours d'histoire naturelle. »