Lot n° : 2508 | Estimation : 300 - 400€
[HANCARVILLE (Pierre-François Hugues d')]. Monumens de la vie privée des douze Césars, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne. Rome, de l'imprimerie du Vatican, 1786.
In-8 XII-236 pp. Basane brune, dos lisse orné, p. de titre et de tomaison (reliure de l'époque). Frottés et épidermures, coins émoussés. Mouillure angulaire brune aux derniers feuillets et au dernier plat. Rousseurs. Déchirure marginale avec manque n'atteignant pas la gravure à la planche I.
L'illustration se compose d’un frontispice et de 50 figures libres gravées sur cuivre, chacune accompagnée d’un texte explicatif. L'édition est souvent accompagnée de sa suite "Monumens du culte secret des dames romaines" (ce qui explique la présence d'une pièce de tomaison au dos).
Après une vie aventureuse, l'antiquaire Pierre-François Hughes, dit d'Hancarville (1719-1805), collabora avec William Hamilton dans ses recherches archéologiques à Naples ; " Les gravures sont presque toutes de l'invention d'Hancarville, et non prises sur des pierres ou camées antiques comme la préface le donne à entendre. Le texte offre une explication remplie de passages empruntés à Suétone, Martial. Ouvrage condamné à la destruction en 1815 et 1826 " (Apollinaire, Fleuret et Perceau, L'Enfer de la Bibliothèque Nationale, n° 343 et 911).
Lot n° : 2508
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[HANCARVILLE (Pierre-François Hugues d')]. Monumens de la vie privée des douze Césars, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne. Rome, de l'imprimerie du Vatican, 1786.
In-8 XII-236 pp. Basane brune, dos lisse orné, p. de titre et de tomaison (reliure de l'époque). Frottés et épidermures, coins émoussés. Mouillure angulaire brune aux derniers feuillets et au dernier plat. Rousseurs. Déchirure marginale avec manque n'atteignant pas la gravure à la planche I.
L'illustration se compose d’un frontispice et de 50 figures libres gravées sur cuivre, chacune accompagnée d’un texte explicatif. L'édition est souvent accompagnée de sa suite "Monumens du culte secret des dames romaines" (ce qui explique la présence d'une pièce de tomaison au dos).
Après une vie aventureuse, l'antiquaire Pierre-François Hughes, dit d'Hancarville (1719-1805), collabora avec William Hamilton dans ses recherches archéologiques à Naples ; " Les gravures sont presque toutes de l'invention d'Hancarville, et non prises sur des pierres ou camées antiques comme la préface le donne à entendre. Le texte offre une explication remplie de passages empruntés à Suétone, Martial. Ouvrage condamné à la destruction en 1815 et 1826 " (Apollinaire, Fleuret et Perceau, L'Enfer de la Bibliothèque Nationale, n° 343 et 911).