Lot n° : 1821 | Estimation : 180 - 200€
HANCARVILLE (Pierre-François Hugues d'). Monumens de la vie privée des douze Césars, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne. Rome, Imprimerie du Vatican, 1786.
In-8 demi-veau brun, dos lisse orné, p. de titre et de tomaison (reliure de l'époque).
Ce premier volume fut suivi d'un second en 1790, intitulé "Monumens du culte secret des dames romaines, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne ; pour servir de suite à la vie des douze Cézars".
Frontispice et 47 (sur 50) figures h.-t. (manque les planches 21, 36 et 40).
L'antiquaire Hughes, dit d'Hancarville (1719-1805), collabora avec William Hamilton dans ses recherches archéologiques à Naples ; "Les gravures sont presque toutes de l'invention d'Hancarville, et non prises sur des pierres ou camées antiques comme la préface le donne à entendre. Le texte offre une explication remplie de passages empruntés à Suétone, Martial. Ouvrage condamné à la destruction en 1815 et 1826" (Apollinaire, Fleuret et Perceau, L'Enfer de la Bibliothèque Nationale, n° 343 et 911). (P. Pia, Les Livres de l'Enfer, 504.)
Reliure très usagée, manque angulaire et déchirure à la planche 22, mouillures claires marginales.
Lot n° : 1821
Adjuge : 150 €
HANCARVILLE (Pierre-François Hugues d'). Monumens de la vie privée des douze Césars, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne. Rome, Imprimerie du Vatican, 1786.
In-8 demi-veau brun, dos lisse orné, p. de titre et de tomaison (reliure de l'époque).
Ce premier volume fut suivi d'un second en 1790, intitulé "Monumens du culte secret des dames romaines, d'après une suite de pierres gravées sous leur règne ; pour servir de suite à la vie des douze Cézars".
Frontispice et 47 (sur 50) figures h.-t. (manque les planches 21, 36 et 40).
L'antiquaire Hughes, dit d'Hancarville (1719-1805), collabora avec William Hamilton dans ses recherches archéologiques à Naples ; "Les gravures sont presque toutes de l'invention d'Hancarville, et non prises sur des pierres ou camées antiques comme la préface le donne à entendre. Le texte offre une explication remplie de passages empruntés à Suétone, Martial. Ouvrage condamné à la destruction en 1815 et 1826" (Apollinaire, Fleuret et Perceau, L'Enfer de la Bibliothèque Nationale, n° 343 et 911). (P. Pia, Les Livres de l'Enfer, 504.)
Reliure très usagée, manque angulaire et déchirure à la planche 22, mouillures claires marginales.