Lot n° : 1659 | Estimation : 400 - 500€
DONATO (Nicolo). L'Homme d'Etat ; ouvrage traduit de l'Italien en François, avec un grand nombre d'additions considérables, extraites des auteurs les plus célèbres qui ont écrit sur les matières politiques. Liège, Clément Plomteux, 1767.
2 vol. in-4, viij-450 pp. ; [2] ff., 258 pp., veau fauve marbré, dos à nerfs orné, pièces de titre et de tomaison, tr. rouges (reliure de l'époque). Coiffes restaurées. Bon exemplaire.
Première traduction française, par Jean-Baptiste-René Robinet, de L'Uomo di governo, qui parut d'abord à l'adresse de Vérone, en 1753.
Nicolo Donato (1705-1765), diplomate et théoricien politique, ne doit pas être confondu avec son homonyme le 93e Doge de Venise (mort le 5 mai 1618 après un mois en fonctions). Son texte a connu peu d'éditions, et le principal intérêt de la version française réside dans l'important appareil de notes tirées notamment de Montesquieu, dont le traducteur, Robinet (1735-1820), un des continuateurs de l'Encyclopédie, l'a enrichi. (Cioranescu, XVIII, 53 582.)
Lot n° : 1659
Adjuge : - €
DONATO (Nicolo). L'Homme d'Etat ; ouvrage traduit de l'Italien en François, avec un grand nombre d'additions considérables, extraites des auteurs les plus célèbres qui ont écrit sur les matières politiques. Liège, Clément Plomteux, 1767.
2 vol. in-4, viij-450 pp. ; [2] ff., 258 pp., veau fauve marbré, dos à nerfs orné, pièces de titre et de tomaison, tr. rouges (reliure de l'époque). Coiffes restaurées. Bon exemplaire.
Première traduction française, par Jean-Baptiste-René Robinet, de L'Uomo di governo, qui parut d'abord à l'adresse de Vérone, en 1753.
Nicolo Donato (1705-1765), diplomate et théoricien politique, ne doit pas être confondu avec son homonyme le 93e Doge de Venise (mort le 5 mai 1618 après un mois en fonctions). Son texte a connu peu d'éditions, et le principal intérêt de la version française réside dans l'important appareil de notes tirées notamment de Montesquieu, dont le traducteur, Robinet (1735-1820), un des continuateurs de l'Encyclopédie, l'a enrichi. (Cioranescu, XVIII, 53 582.)