Lot n° : 1415 | Estimation : 250 - 300€
Manuscrit. Recueil de chansons Sl, sd [c.1830].
In-4 carré, [109] pp., chiffrées seulement jusqu'à 49, suivies de [201] ff. demeurés vierges, maroquin vert, dos lisse orné, encadrement de pointillé, double filet et guirlande dorés sur les plats, double filet doré sur les coupes, tr. dorées, dentelle intérieure (rel. de la fin du XVIIIe). Bel exemplaire.
Il s’agit manifestement d’un grand carnet vierge constitué et relié à la fin du XVIIIe siècle, mais utilisé seulement à l'époque romantique pour y consigner les poésies et les chansons qui plaisaient à la (jeune ?) personne qui en était possesseur (cf. plus bas).
Il s'agit essentiellement de poésies composées par des femmes : Mme de Genlis, Mme Cottin, Mme de Staël, Mme Deshoulières, Mme Davot, Marcelline Desbordes-Valmore (L'Etrangère ; Le Concert ; Le Premier amour). Mais quelques poètes romantiques se glissent çà et là : Evariste Boulay-Paty (1804-1864) ; l'abbé Delisle ; et surtout Victor Hugo, dont sont repris plusieurs poèmes des Orientales (première édition en 1829).
Exemplaire de Caroline de Farémont, ou Defarémont, avec nom poussé en lettres dorées au centre du plat supérieur. Nous ignorons tout de cette aimable personne, mais elle signe la dernière pièce Le Vieux missel.
Lot n° : 1415
Adjuge : 300 €
Manuscrit. Recueil de chansons Sl, sd [c.1830].
In-4 carré, [109] pp., chiffrées seulement jusqu'à 49, suivies de [201] ff. demeurés vierges, maroquin vert, dos lisse orné, encadrement de pointillé, double filet et guirlande dorés sur les plats, double filet doré sur les coupes, tr. dorées, dentelle intérieure (rel. de la fin du XVIIIe). Bel exemplaire.
Il s’agit manifestement d’un grand carnet vierge constitué et relié à la fin du XVIIIe siècle, mais utilisé seulement à l'époque romantique pour y consigner les poésies et les chansons qui plaisaient à la (jeune ?) personne qui en était possesseur (cf. plus bas).
Il s'agit essentiellement de poésies composées par des femmes : Mme de Genlis, Mme Cottin, Mme de Staël, Mme Deshoulières, Mme Davot, Marcelline Desbordes-Valmore (L'Etrangère ; Le Concert ; Le Premier amour). Mais quelques poètes romantiques se glissent çà et là : Evariste Boulay-Paty (1804-1864) ; l'abbé Delisle ; et surtout Victor Hugo, dont sont repris plusieurs poèmes des Orientales (première édition en 1829).
Exemplaire de Caroline de Farémont, ou Defarémont, avec nom poussé en lettres dorées au centre du plat supérieur. Nous ignorons tout de cette aimable personne, mais elle signe la dernière pièce Le Vieux missel.